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FICHE PACE ----

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Message par Admin Ven 3 Jan - 16:38

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[quote="Pace Simoes"]<CENTER><div class="fondbasique"><TABLE><TR><TD><div class="fondavatarliens"><img src="https://i.imgur.com/0X13tue.png" width=160px;"><span class="nompersonnage">pace simoes</span><br><span class="soustitre">ft norman theuerkorn</span><div class="transi"><div style="height: 246px; overflow: auto; padding-bottom: 1px; padding-right: 10px; margin-right: -5px;"><span class="span2">ꕥ résumé :</span> pace a grandi dans un monde avec beaucoup trop d'insécurité pour le gamin sans défense qu'il était. pour faire face aux violences de son père, et à celles de son quartier, il a appris à se battre et à user de ses poings, sans parvenir à gérer la colère qui l'anime. abîmé par des émotions qui le dépassent et une vie vide de sens, remplie de galères, il participe à des combats de rue et dérape parfois jusqu'à prendre son entourage pour un sac de frappe. mais pace, c'est pas un mauvais garçon au fond, ça ne l'a jamais été. il n'est que le fruit de manipulations répétées, d'abandons et de mauvaises rencontres.</div></div></div></td></TD><TD><div class="fondcadreinfos"><div style="height: 277px;" id="chatlist" class="mousescroll"><div style="padding-top: 2px;"><div class="intitulepetit">who am I</div></div><span class="span1">ꕥ âge :</span> même regard clair assombri par des sourcils trop souvent froncés depuis dix années, la mine (dé)faite d'angoisses ravalées. au total, [u]vingt-six[/u] ans passés à défaire, refaire, massacrer le monde dans tes rêves les plus fous, et tout autant d'années misères, d'années galères. le temps qui a fondu dans tes rides pour transformer ton visage d'enfant. et les bleus sur ta peau et le nez fracassé. pourtant, il y a encore cette étincelle, dans ton âme éclatante d'éternel adolescent.
<span class="span2">ꕥ orientation sexuelle :</span> toujours regardés. lui, elle. les formes, les corps, les muscles sous la chair, le sang dans les veines, le palpitant à fleur de beau. on étiquette [u]pan[/u], quand tu susurres [i]humain[/i]. le cœur qui s'affole pour un regard croisé, dérobé aux inconnus des transports en commun. et ces parfums qui t'enivrent, quelle que soit leur douceur. sucrés, acides. le myocarde qui en redemande encore, habitué à souffrir. et tes haussements désinvoltes d'épaules, ce sourire flottant sur les lèvres. liberté du cœur tardivement assumée, mais désormais potée haut, l'étendard gueulant l'intérêt du genre humain.
<span class="span1">ꕥ situation :</span> le kid s'enivre d'aveux refoulés, de [i]je t'aime mais[/i] murmurés si bas qu'on jurerait avoir rêvé. mais la [u]solitude[/u] qui t'écrase à chaque porte d'appartement claquée. les instants passionnés qui ne survivent que dans des souvenirs las. quand le dos à la porte, les bras croisés sur ton torse t'apportent la chaleur qui te fait défaut. il y a eu des silhouettes de passages, mais elles n'ont laissé dans leur sillage que l'amertume de ces soupirs envolés. relations catastrophes, relations mensonges, relations vaisselle brisée. ça se finit toujours en montagne de violence ou en suppliques ignorées. ça se termine toujours comme ça commence, et ton bordel intérieur, celui qui charmait, devient une ardeur trop lourde à porter. seul reste [u]livio[/u] au milieu du chaos. mais pour combien de temps encore.
<span class="span2">ꕥ occupation :</span> rien de flamboyant. t'as jamais eu l'ambition des gens de bon rang, jamais eu la hargne des requins de haut de panier. t'es dans la merde des illettrés, la boue jusqu'au yeux, la boue dans la gorge et les poumons. tu bosses de nuit, souvent. t'es [u]cariste[/u], cariste pour un type pas très regardant. dans tes cartons, dans les stocks, tu sais pas exactement ce qu'il y a et t'as jamais posé la question. comme ce mec tait les coquards à ton visage. chacun ses problèmes. les voyous et les raclures savent se trouver. lui, ça fait presque six ans qu'il t'emploie. à croire qu'il est plutôt satisfait.
<span class="span1">ꕥ quartier :</span> t'as trompé la belle dame, celle qui t'a vu grandir. t'as cramé ses bagnoles, dégradé ses murs, sali ses pavés comme t'as dégueulassé ton âme. et tu t'es barré, comme un voleur. t'as quitté [i]brooklyn[/i] comme on se sépare d'une longue relation, avec de maigres affaires sur le dos et le cœur fissuré, quelque part égaré dans ta carcasse d'empereur. c'est dans le [u]bronx[/u], que t'as trouvé refuge. dans l'anonymat d'une barre d'immeuble à l’ascenseur toujours en panne, au concierge qui passe plus de temps à dealer qu'à entretenir l'endroit. entre ton voisin alcoolique et celle qui élève seule ses sept gosses. c'est pas chez toi. t'y es pas vraiment bien. mais c'est mieux que rien.
<span class="span2 ">ꕥ qualités :</span> pace, t'avais le soleil au coin des yeux et tu l'as encore, parfois. mais l'plus souvent, y'a qu'tes lèvres qui s'étirent vaguement, le rictus acerbe, moqueur, mais l'rictus du bon pote, de celui qui aime traîner dans les bars, de celui qui déconne en soirée. de celui qu'il n'est pas désagréable de fréquenter. autre chose, à ton sujet. t'es loyal, cette fidélité de clébard qui te pend au nez. c'est pas grand-chose, c'est peut-être un peu minable, mais pour un vaurien comme toi, c'est la trace du bien. la marque dans la gueule, le bleu qui s'efface pas. à l'inverse de ceux que t'infliges, quand tu veux gagner un combat. et quand la volonté est là, quand elle est vraiment là, tu lâches rien. la détermination crachée au visage de tes adversaires, comme on méprise un passant. mais y'a ce truc qui sommeille. au milieu du chaos. cette fragilité d'enfant, à peine dévoilée.
<span class="span1">ꕥ défauts :</span> ils diront que tu les as tous. eux, qui ont vu tes visages les plus déplaisants. ils diront que tu as la rancune, le déni, la colère, le sang-chaud, les poings qui se perdent, la violence, la perte de contrôle, le regret, la jalousie, le déplaisir, la connerie, le manque d'ambition, l'étroitesse d'esprit, la lâcheté, les secrets par millier, l'incapacité de s'exprimer, le doute, l'angoisse, la nervosité, le besoin de maîtriser. t'sais pas si c'est vrai. t'sais pas si c'est ça, le portrait que tu veux qu'on retienne de toi. tu voudrais qu'il soit plus beau, moins terne, plus coloré. tu voudrais qu'on essaie de voir au-delà de cette image que t'as. qui te colle à la peau jusqu'à la faire fondre jusqu'aux os.
<span class="span2 ">ꕥ groupe :</span> t'es pas totalement dans le déni, gamin, mais tu préfères te dire que si ta vie est si merdique, c'est pas de ta faute. que dans l'histoire, la victime, c'est toi. que si tu joues des poings, c'est parce qu'on t'y a forcé, parce qu'à cause du bordel qu'est ta vie, t'es incapable de faire autrement. [u]idk what you're talking about[/u] c'est pas totalement faux, c'est pas totalement vrai. tu te réveilleras peut-être quand t'auras atteint le fond. en attendant, tu continues à creuser.
<span class="span1">ꕥ communautés :</span> [u]aucune[/u], pour l'instant.
<div style="height: 6px;"></div><div class="intitulepetit">all about my player</div><span class="span2">ꕥ petite présentation perso :</span> alors, je suis du genre artiste raté, j'ai beaucoup de rêves et d'envies mais je ne réalise jamais rien de concret (mais ça va, je le vis bien). je fais de la communication alors que je suis de plus en plus asociale (oups), j'ai vingt-trois ans, de sexe féminin, j'ai un poisson en demi-pension et je chercherai prochainement du boulot, parce que bon, six ans d'études après le bac ça suffit bien. ah, aussi, j'écris cette présentation sur une musique au mood incertain (a thousand years (twilight tmtc)) et vu que je suis une véritable éponge je me rends compte qu'elle ne donne pas du tout envie.

:06:

JE SUIS PAS MÉCHANTE, je passe régulièrement et j'adore les liens tordus, complexes, prise de tête et le drama irp. [strike]mp moi, allez, zou[/strike] je passe ma vie à manger et à me dire que je vais me mettre au sport (demain, demain) ah et j'crois avoir fait le tour.

:puppy:  :006:

[center]<span class="span2">ꕥ ........</span> <span class="span1">petit portrait chinois<span class="span1"> <span class="span2">........ ꕥ</span>
<span class="span2">.....................................................</span>[/center]

<span class="span1">ꕥ un livre :</span> au bonheur des dames
<span class="span2">ꕥ un film :</span> (we are) four lions
<span class="span1">ꕥ une série :</span> rpdr (allez, ça compte)
<span class="span2">ꕥ une chanson :</span> million eyes, nottet
<span class="span1">ꕥ un animal :</span> un hérisson
<span class="span2 ">ꕥ un plat :</span> des spaghettis
<span class="span1">ꕥ une boisson :</span> de l'eau, tant qu'il y en a
<span class="span2 ">ꕥ une célébrité :</span> egon schiele
<span class="span1">ꕥ un pouvoir magique :</span> contrôle de la mémoire

[center]<span class="span2">ꕥ .......</span> <span class="span1">et pour finir en beauté<span class="span1"> <span class="span2">....... ꕥ</span>
<span class="span2">.....................................................</span>[/center]

<span class="span2">ꕥ un trigger :</span> j'ai peur de rien moi daddy. et si quelque chose me dérange, j'en parle, en face et directement. pas vraiment du genre à murmurer dans le dos des gens eh :l:
</div></div></TD></TR></TABLE>
<div class="intitulepresa">that's my story / self diagnosis</div><div class="textein"><div style="height: 400px; overflow:auto; padding-left: 2px; padding-right: 8px;"><span class="color2">[size=8](tw : violences sur mineur)[/size]

[u]j'ai pas d'raisons d'croire qu'y'a quelque chose d'mieux qui m'attend ailleurs[/u].

yeux clos. [i]cinq[/i]
respire. [i]quatre[/i]
inspire. [i]trois[/i]
expire. [i]deux[/i]
et tu repars. [i]un[/i]
de zéro. [i]zéro
zéro
zéro
zéro[/i]
...

[b]LA CHAIR.[/b] ta bicyclette est rouge. ça pourrait être un détail, mais c'est d'une importance capitale au contraire. elle est rouge, d'un rouge vif, de ce rouge qu'on voit sur les camions de pompier. le rouge des capes des super-héros des bds. dessus, tu as collé des stickers récupérés dans les malabars. des flammes, parce que tu trouves ça cool. avec elle, t'arpentes le quartier à toute allure. avec elle, tu survoles ta cité. tu t'en prends, des gamelles, sans arrêt. mais tu te relèves, le sourire aux lippes et le cœur qui tambourine dans ta poitrine. t'as les jambes plus courtes que celles des autres, mais t'arrives à suivre le rythme et ça te bouffe de fierté. t'as huit ans, t'es heureux. tu l'as jamais été vraiment, depuis ce temps. mais ces souvenirs, tu les gardes précieusement. ta bicyclette rouge-justicier, ta bande dessinée superman, ton livre du petit prince planqué sous l'oreiller. t'es pas si différent des autres gamins du quartier. si ta mère ne sourit jamais, c'est parce qu'elle est triste. si ton père est toujours si énervé, c'est parce qu'il travaille trop. quand on te parle d'un air désolé du petit andreas, tu hausses les épaules en récitant ce qu'on t'a appris, incapable de parler de ce petit frère dont tu ne te souviens pas, que tu as à peine connu et qui pourtant hante chaque jour l'appartement familial. et le soir, quand tous les gamins rentrent chez eux. toi, tu restes plus longtemps dehors. tu dessines sur les murs, tu lorgnes les étoiles, tu essaies d'arrêter le temps. tu repousses ce moment où tu retourneras chez toi, où tu perdras tes super-pouvoirs et où tu ne redeviendras qu'un petit garçon ordinaire. c'est peut-être pour ça, qu'elle est si importante ta bicyclette. parce qu'elle a toute cette nuance que tu aimes transmettre. elle est rouge vif. elle n'est pas rouge [i]sang[/i].  

[b]LE SANG.[/b] avec elle, t'affrontes les tornades. les trahisons se prennent au jeu de ce combat d'enfant et le sentiment d'abandon fait place au courage. elle t'apporte tout ce que tu n'as pas, à commencer par le courage. celui de sortir, de traverser la rue. celui de se tenir droit, stoïque face aux emmerdeurs. celui de rester immobile sur le trottoir, quand un bus te frôle. parce qu'il en faut, un putain de courage pour continuer à vivre comme ça. les journées passent et se ressemblent tristement. rythmées par les ponts qui se coupent, par les poings qui se serrent, par la maladie révélée de ta mère, qu'elle accueille d'un simple soupir. sous ton propre toit, tu ne vois plus que de vulgaires étrangers. et quelque chose se brise doucement dans ton cœur, lorsque sur le pavé, au pied de ton immeuble, tu découvres pour la première fois la sensation d'une côte fêlée, ce goût de fer entre les lèvres, rapidement effacé par celui, bien plus réconfortant, de l'alcool. victimes et bourreaux qui se retrouvent le soir pour partager quelques secondes de violence, une poignée d'éternité et des regards aux éclats de rire qui s'effacent lentement dans l'obscurité. t'as des rêves d'ailleurs, des envies de nulle part. t'aimerais disparaître ou être quelqu'un d'autre que le gamin sans saveur que tu deviens. pourtant, avec elle, oui avec elle, tes pieds regagnent la terre. elle t'apprend à ne plus craindre le courroux des êtres humains, à ne plus rien redouter si ce ne sont les sourires, dont tu ignores la sincérité. elle, ta tendre solitude.

[b]LES OS.[/b] le bonheur est resté sourd à tes pleurs. des années durant, il a détourné le regard, il a laissé ta frêle silhouette allongée sur le parquet. et toi, toi, dans le silence, t'as continué à te demander sans cesse ce que t'avais fait de mal, tout en sachant pertinemment la réponse. rien. t'as absolument rien fait de travers. même ce jour où t'as vu la silhouette de ta mère immobile sur le fauteuil. ce jour où, calmement, t'es venu vérifier si elle respirait encore. ce jour où t'as décidé de sortir malgré tout et de [i]faire comme si[/i]. pour ne pas avoir à être celui qui donne l'alerte. pour faire ton deuil et te décharger de ce poids. même là, pace, t'étais humain. parce que cette lâcheté, gamin, cette putain de lâcheté baignée d'égoïsme, c'est l'propre des hommes. et à seize pauvres années, on est juste pas prêt. on est pas prêt à enterrer sa mère, on est pas prêt pour des funérailles austères, pour ces chaises restées vides, car qui s'en souciait de cette femme fantôme ? dans ton histoire, y'a comme un blanc. un trou que t'as jamais comblé. quelques jours de flou. quelques jours où il te semble être devenu un homme. jusqu'au soir où ton père explose de chagrin. jusqu'au soir où c'est toi, qui le premier lève la main. ça hurle dans l'appartement, ça hurle et ça en fait trembler les murs. t'as tout juste le temps de prendre un sac à dos, tout juste le temps d'y balancer un t-shirt. quand t'y repenses, y'a la colère qui gronde et l'amertume de l'instant. t'es jamais retourné chez toi, jamais revenu dans l'immeuble. tu sais pas s'il est vivant, s'il vit encore là. t'sais pas ce que tu feras si tu le croisais à nouveau, t'espères juste que t'arriverais à ne pas le tuer. tu te dis qu'il a dû brûler tes livres et balancer ta bicyclette aux ordures. et t'étouffes ta peine dans un haussement d'épaules. les voisins ont dû te regretter quelques jours, avant de t'oublier. à cette époque, t'étais pas vraiment inoubliable. t'étais un élément du paysage et dans la mascarade de cette foutue vie, on venait de changer de décor. t'en faisais juste plus partie.

[b]LES MUSCLES.[/b] l'eau ruisselle sur tes cheveux courts, presque rouquins quand le soleil s'en mêle, jusque dans ton cou, se fond avec ton épiderme, quand t'affrontes ton propre reflet dans le miroir. elle pénètre dans les cicatrices d'acné sur tes joues, atténuées par le temps et l'âge. elle glisse le long de ta mâchoire qui part légèrement en biais, quand on prend le temps de l'observer. elle perle à ton arcade sourcilière rendue proéminente par de petits yeux enfoncés dans leurs orbites. des yeux aux iris d'un bleu terne, sans saveur. et les poches qui les soulignent n'ont rien à envier à ta mine de déterré. le visage allongé, creusé, les pommettes rendues presque saillantes par ce manque de rondeur. elle caresse l'arrête de ton nez, encore épargnée par toute cette colère (mais pour combien de temps?) quelques gouttes encore tombent à intervalle irrégulier des lobes trop grands de tes oreilles, laissés nus sans le moindre ornement. il n'y a pas grand-chose à admirer, dans ta carcasse aux épaules bien trop voûtées, si ce n'est cette bouche en forme de cœur, ces lèvres closes derrière lesquelles sommeillent des dents pas tout à fait blanches, du fait des cigarettes trop souvent consommées. tu hais profondément ce qui se dégage de ton portrait. tu hais ce visage qui ne s'anime vraiment que lorsqu'un sourire enfantin s'y dessine. lorsque tes lippes s'étirent et que la vie y prend forme. fossette à peine esquissée, plissés du soleil. ce foutu reflet qui te balance à la gueule la laideur de ton âme. t'as dix-sept ans et t'aimerais déjà pouvoir exprimer cette incompréhension qui domine tes pensées;

[right]lorsqu'un parfait étranger te dit séduisant,
lorsqu'une inconnue ose louer ton regard.
toi, dont la mère n'a jamais complimenté l'apparence.
et ignoré par un père qui daignait à peine te regarder.[/right]

[b]LA PEAU & LE CŒUR.[/b] ils se confondent, depuis des années. les bleus sur l'épiderme. les plaies au cœur. jusqu'à vingt ans, y'a comme un blanc, dans ta vie. t'as fumé un joint et tu t'es réveillé le corps hurlant, la barbe mal taillée. t'as fermé les yeux un instant et quand t'es revenu à toi, les années s'étaient écoulées. t'expliques pas, ce flou qui te tourmente secrètement. sans doute que t'en as fait, des conneries. sans doute que t'en as brisé, des cœurs. des vies. t'essaies pas d'oublier, t'essaies pas de mettre cette période de côté. t'étais trop jeune pour la rue. trop con pour t'en sortir convenablement. t'es parti en vrille et l'histoire s'arrête là. depuis, y'a que ta silhouette, qui s'en sort. fantôme en bichromie qui arpente les rues dégueulasses de la vieille ville. routine hachurée de grands ménages, routine percutée par tes erreurs de parcours, tes dérapages. ton chemin en dent de scie, et les pentes que tu remontes à peine. à te demander ce que tu fous sur terre.

[i]t'es pas là pour te battre.
t'es pas là pour te battre.
t'es pas là pour te battre.
t'es (pas) là pour te battre.
t'es là pour te battre.[/i]

[quote]j'ai fini par comprendre
que tout malaise se passe[/quote]
</div></div><div class="intitule">this session is gonna be different</div><table><tr><td><div class="fondcadredescription"><div class="fondpseudofiche"><span class="pseudofiche">caravelle ꕥ </span><span class="avatarliens">vingt-trois ans</span></div><div style="height: 58px; font-size: 11px;"  id="chatlist" class="mousescroll"><span class="color2">fréquence de rp :</span> aléatoire, cela dépend évidemment de la motivation. <span class="color1">ϟ</span> <span class="color2">fréquence de connexion :</span> (très) régulière, j'ai globalement toujours un onglet ouvert qui traîne. <span class="color1">ϟ</span> <span class="color2">préférences en termes de nombre de mots en rp ?</span> peu importe, tant qu'il y a de la matière (et c'est bien connu, le nombre de mots ne fait pas la matière) <span class="color1">ϟ</span> <span class="color2">avatar à réserver :</span> le trop méconnu norman theuerkorn. <span class="color1">ϟ</span> <span class="color2">de quelle couleur sont les petits pois :</span> ils sont gris, comme le cheval blanc d'henri iv. <span class="color1">ϟ</span> <span class="color2">comment avez-vous connu 99 ?</span> une petite voix (coucou @"livio jensen") et puis, accessoirement, je le survole depuis son ouverture. <span class="color1">ϟ</span> <span class="color2">un dernier mot pour finir en beauté ?</span> j'aime pas finir en beauté.</div></td><td><img src="https://cdn2.foap.com/images/27343b81-09a7-4834-a048-5e3c607fd4eb/w640.png?1506197745" class="imgfiche"></td></tr></table><div style="height: 6px;"></div><div class="intitulecredits"><span class="spancredits">neo (avatar)</span></div></div></CENTER>[/quote]

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